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04/02/2012

La barbarie islamique s'attaque aussi aux animaux

 

 

 

Dans le dernier dépliant de la fondation 30 millions d’amis il est question de la maltraitance des animaux. Abandons, tortures, trafics, expérimentation animale… Une page entière est consacrée à une affaire concernant « l’agonie d’un bovin » dans le Calvados. Une page. 

 A la suite d’une chute dans le couloir de l’abattoir,  l’animal ne pouvait pas se relever.  

«Les employés de l’établissement auraient usé abusivement d’un bâton à impulsions électriques sur son corps et sa tête pour qu’il se relève. Le pauvre animal aurait ensuite été ceint par les cornes avant d’être soulevé par un chariot élévateur. Une étape qui ne doit être réalisée, selon la réglementation en vigueur, qu’une fois l’animal mort. La nuque du bovin, encore conscient, se serait brisée, entraînant sa mort. »  

 A peine croyable ! Comment peut-on ne pas s’indigner ? Sont-ils encore des êtres humains ces gens capables d’une telle insensibilité ? 

 On est en droit toutefois de se poser une question. Comment peut-on s’émouvoir de la maltraitance d’un animal, et garder le silence sur la maltraitance de millions d’autres ? Ces animaux qui sont massacrés dans les abattoirs (ou ailleurs !) hors de tout contrôle et dans l’illégalité ne font-ils pas partie des « 30 millions d’amis » ? 

 Mangent-ils halal les membres de la Fondation ?

 Savent-ils que les animaux, selon l’abattage rituel, sont égorgés sans être préalablement étourdis ?

 Ignorent-ils que les normes européennes imposent l’électrocution ? 

 A quand une enquête de 30 millions d’amis sur la traçabilité de la viande, sur les conditions dans lesquelles les animaux de boucherie ont été abattus ? 

 Une autre question. Quelle garantie avons-nous lorsque nous mangeons de la viande qu’il ne s’agit pas de nourriture halal ? Car les choses ne sont pas claires. Seul un fabricant le garantit. Encore faut-il en croire ses responsables. 

 Outre la maltraitance, et n’étant pas musulman, j’ai le droit d’être assuré que la viande qui est dans mon assiette ne provient pas d’un animal égorgé après avoir été aligné dans la direction de La Mecque.  

 

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