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23/12/2023

Je souhaite un joyeux Noël à mes fidèles lecteurs!

 

n
no
non
nooon
non na !
non, mais
non de non
nom de dieu
non nein niet
non à l’Europe
non au nucléaire
non aux tests ADN
non aux expulsions
non au déficit public
non à la taxe carbone
non aux privatisations
non aux licenciements
non au tout sécuritaire
non aux délits d’initiés
non aux discriminations
non aux plans de relance
non au service minimum
non aux parachutes dorés
non au traité de Lisbonne
non aux inégalités sociales
non au dopage dans le sport
non aux magnats de la presse
non aux suppressions de postes
non aux caméras de surveillance
non à la baisse du pouvoir d’achat
non à la privatisation des universités
non aux délocalisations des entreprises
non au démantèlement des services publics
non au non remboursement des médicaments
non aux directives de la commission européenne
non au rejet de gaz toxiques à proximité des écoles
non à l’installation des éoliennes dans nos campagnes
non à la suppression programmée des hôpitaux de proximité
non à la suppression de la taxe professionnelle utile à nos communes
non à l’armée
non à la guerre
non à la disparition des casernes dans nos provinces
non au chômage technique et aux licenciements dans nos usines d’armement



Femmes et hommes politiques d’opposition ! Comment voulez-vous qu’on vous croie sur parole ? Vous ne savez dire qu’un mot :

« NON ».

Comme il suivait chaque année le Tour de France, Jean Amadou était amusé par l’omniprésence des manifestations contre ceci, contre cela au bord des routes. On peut comprendre cette façon d’exposer des revendications, sachant que les caméras de télé sont là pour les faire connaître à un nombreux public. Non au passage du TGV, non à l’autoroute, non à la baisse du prix du lait, etc. Un jour –c’est Amadou qui rapporte- sur une banderole je n’ai vu qu’un mot :

« NON ».

Certes il y a des refus nécessaires. Bien que certains, criés et brandis sur calicots un jour et son lendemain par les mêmes personnes… ne soient pas toujours conciliables. Mais s’il n’y a que des refus, les gens se lassent et ne voient pas le bout du tunnel. Y a-t-il seulement de la lumière au bout du tunnel ? Une perspective, un projet ? Allez, soyons fou : une vision du monde ?



07/12/2023

Conflit ?

 Un intervenant a dit sur un plateau télé que le 7 octobre n'avait pas été le début du conflit israélo-palestinien, ce dernier ayant commencé bien avant. 

Si quelqu'un a vu ou a été témoin d'un conflit le 7 octobre en Israël, qu'il le dise et le prouve. Une multitude d'images insoutenables (tournées par les terroristes) et de témoignages difficiles à entendre montrent qu'il ne s'agissait pas d'un conflit, mais d'un pogrom. 

Avez-vous déjà entendu parler d'un conflit lors de la nuit de cristal en Allemagne, lors de l'attentat contre les journalistes de Charlie-hebdo, ou contre des enfants de l'école juive de Toulouse?

Quand aux civils massacrés le 7 octobre en Israël, ils n'étaient pas utilisés par l'armée israélienne comme bouclier humain. C'étaient des jeunes qui étaient là pour s'amuser, comme on a encore le droit de le faire dans le monde libre. 

 

§

 

18:04 Publié dans Autour d'un mot | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pogrom

02/12/2023

Diversion

 

 

 Les bien pensants relèvent la tête en répétant à qui veut l’entendre qu’en France le danger numéro 1 c’est l’ultra droite. Cela confirme bien ce que j’écrivais il y a quelques mois: l’extrême droite occupe une place de choix dans la situation politique de la France d’aujourd’hui. Elle permet aux médias de relayer cette antienne bien connue: le problème n’est ni l’immigration incontrôlée, ni l’islamisme, ni l’antisémitisme, ni le racisme anti-blanc. Le problème, c’est le fascisme.

 

 On pourra répondre à la gauche (une partie de celle-ci heureusement) et aux journalistes aux ordres, qu’au lieu de jouer les militants antifascistes d’opérette en ne cessant de montrer du doigt l’extrême droite, ils feraient mieux de se demander pourquoi celle-ci relève la tête. Pour être plus clair: de se demander s’ils n’en sont pas la cause.

 

 Car l’extrême droite n’est pas tombée du ciel. Beaucoup de français savent que ce n’est pas en niant la réalité qu’on la fait disparaître.

 

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